Eishi Nara.

I) Présentation personnelle


1) Comment vous appelez vous ?
Ivette, 98 ans, née en Turquie sous le nom de Karabouonirititanomarivino.

2) Comment avez-vous connus le forum ?
Par un admin du forum ... Mais lequel ? ^^

3) Quel genre de manga vous connaissez ?
Death note.
Blue dragon.
Naruto. (sans déconner ?!!)
Elfen Lied.
Pokémon (fallait que je le place celui-là ^^)
Bleach.
School Days.

Ainsi que de nombres hentais que je n'énumérerais pas ici...

4) Votre niveau en RP (Bon, Moyen, Faible) ?
Hum... Je pencherais pour Moyen avec un léger penchant pour le Bon.

5) Un petit mot ?

Oui : Joyeuseeeee Saint-Valentinnnnnn !!!!!!!!!



II) Information sur le personnage.

1) Son Nom : Nara (c'est écrit dans mon pseudo en même temps)

2) Son Prénom : Eishi (même remarque que pour le nom)

3) Son Age : 98 ... Nannnn... 17 ans.

4) Son village : Konoha qu'il a fuit pour se réfugier chez nos copains Akatsukien.

5) Type de Jutsu (Ninjutsu, Genjutsu, Taijustsu) : Ninjutsu.

6) Affinité Ninjutsu si besoin : Suiton.

7) Description mentale : Comment pourrait-on décrire Eishi Nara ? Les nombreux psychiatres qui s’y sont essayés ont dû confesser leur échecs. La principale difficulté de l’entreprise réside dans l’intelligence d’Eishi. Celui-ci parvient en effet à déjouer tous les tests auxquels ou le soumet. Ce qui fait de lui un être intelligent ce n’est pas sa capacité à réfléchir, mais la vitesse à la quelle il parvient à résoudre une énigme. Effectivement, il réussit à dénouer une série de complexités que certains scientifiques prennent plusieurs journées à résoudre.
C’est pourquoi, plus jeune, il fut surnommé « l’enfant prodige ». Bien au dessus des autres en cours, son quotient intellectuel épatait ses professeurs.
Malgré ça, Eishi reste un homme colérique, imbu de lui-même, qui ne supporte pas la défaite. Ce qui le rend plus combattant que n’aurait put l’être un autre Nara auparavant.
Au-delà de ça, il reste un homme calme avec qui il est difficile de rentrer en contact.

8*)Description Physique : C'est un homme grand, 1 mètre85, des jambes élancés, une morphologie d'athlètes. Le buste droit, les épaules hautes, ça stature est imposante.
Toujours habillé de noir et de blanc, il inspire un sentiment de crainte parmi ses interlocuteurs… Ces deux couleurs représente le combat éternel entre Dieu et Satan. Le noir, les ténèbres. Le blanc, la lumière…
Son nez est aquilin, son visage fin, ses yeux verts... Sa chevelure blanche ondulent le long de ses épaules glabres.
Il sourit peu. L’expression de son visage n’exprimant rien. Il n‘est pas beau, il a du charme.
Eishi un fanatique des rites ancestraux. C’est pourquoi, le long de ses doigt, trônent une brochettes de trois bagues, en plus de celle de l’Akatsuki. Mais … que représente-t-elle ? …
Son allure lui donne une certaine maturité malgré son jeune age.



9) Post RP sur votre vie jusqu’à maintenant :

Konoha est un village de paix et d'espoir. Konoha ne prévoyait rien... Et pourtant, Konoha connut un drames...
Il y a 16 années, Eishi Nara, descendant du clan des Ombres fut mit au monde. L'association d'une femme Nara et d'un ninja de Kiri.
Il hérita du sang de sa mère, et put ainsi utiliser les pouvoirs que lui conférait son clan.
Passa alors 12 années paisible, ou il passa son temps à rêvasser, lire, mais toujours en restant seul, isolé...
Quand il atteingnit ses 13ème années, son apprentissage en tant que Genin fut terminé. Il faut ainsi nommé Chuunin dans un groupe de trois élèves du village. Elio, Eishi, Elianna. E.E.E. Le groupe des Ombres...
Rapidement ils furent réputé pour la terreur qu'ils inspiraient parmit les Chuunin.
Après deux années... Elio et Elianna furent tués mystérieusement. Personne ne sut jamais qui en avait été la cause. 1 mois plus tard, Eishi était nommé Juunin.
Appartenant à présent à une escouade composé de 6 hommes, Eve, Eime, Enia, Eri, Eishi et Ebitsu. E.E.E.E.E.E.
Etrangement, Le fléau du "E" le poursuivait , sans qu'il ne sans soucis réellement...
Après plusieurs missions réussis, les six Juunin furent affecté à une mission plus délicate. Infiltré un village ennemi.
Résultat : 4 morts et deux survivants.
Eishi et Eve.
Chacun fut affecté à de nouvelles missions, et le conseil des sages classa l'affaire comme si de rien n'était.
Deux ans plus tard... Même bilan. Eishi était l'unique survivant du groupe E.E.E.E.E.E.
Eve ayant été foudroyé par une maladie inconnu.
Après cette période tourmentée, Eishi fut finalement nommé Anbu. Il passa dès l'hors des moments paisible, ayant arrété ses missions.
Il retourna vivre chez ses parents adoptifs, simplement, retrouvant une vie banal.
Encore une année se prolongea dans le calme... Jusqu'au drame...
Konoha fut attaqué... On envoya plusieurs hommes défendre le village... Parmit eux se trouvait Eishi ainsi que ses parents.
Deux sur trois ne survècurent pas...
Eishi resta en vie...
Depuis ce jour il reste seul... Renfermé sur lui même...Guettant sa revanche sur le monde...
Une dernière année passa, durant la quelle Eishi fit la rencontre d'une organisation dénommé "Lune Rouge" ...
Elle lui proposait la gloire, elle lui proposait la fortune... L'éternité ...
Le Nara ne put résister à cette tentation... Il accepta de rejoindre les troupes de l'Akatsuki, oeuvrant à présent pour eux, toujours...
L'ombre est une mort...Sachez-le..

Voici le test rp que j'avais mit sur un autre forum, cela vous permettra de mieux évaluer mes compétences :


Après l'attaque des troupes de Kiri sur Konoha, le calme est revenue. Les prisonniers ont été libéré. Eishi vient de perdre ses parents, et il ne sait ou aller....


Comment n’avait-il pas su remarquer cela avant ? Des habits clairs, cette peau blanche, les rainures rouges sous ses yeux…
Tako ferma les yeux tentant d’éloigner son esprit de cet endroit, de cette pièce où finissait d’agoniser l’enfant mis à mort par ce clan barbare qui régissait le village de Kiri no Kuni. Il se mordit la lèvre, essayant d’enrayer les sentiments exacerbés qui le remplissaient à présent, une colère sourde, une tristesse profonde.
Il regarda à nouveau le petit être qui grelottait de froid.

Pourquoi ?... Comment ?... Comment ça avait-il pu arriver ? Le Mizukage était donc devenu un être mauvais au point de commettre un acte aussi infâme ? Ça n’avait pas de nom. Le blason cousu sur les vêtements de l’enfant, Le blason des Nara. Comment ce faisait-il qu'un homme appartenant à ce clan est-put en arriver à cet état ? Impensable.
Cette vérité lui donna envie de vomir et le tordit de rage.

Il murmura d’une voix cassée :

« Ce gamin... Il est passé à deux doigt de la mort. »

Il se leva, prit dans ses mains la bassine d’eau souillée de sang et sortit de la pièce, trouvant soudain son atmosphère étouffante. Il se rendit dans la petite salle qui jouxtait sa propre chambre où avait échoué l’enfant, là où il rangeait tous ses manuscrits de médecine, toutes les archives du clan Iribie, son clan.
Il vida le contenu de la bassine dans l’évier et fit couler par-dessus de l’eau bouillante pour stériliser le tout. Il laissa l’eau tourbillonner dans la bassine et déborder, lavant le sang et l’entraînant dans sa passe.
Il se retourna vers les étagères remplies d’ouvrages poussiéreux pour en retirer un volume relié de cuir rouge qu’il posa sur le bureau recouvert de croquis et de pages manuscrites, son travail sur cette technique qu’il désirait relever de ses cendres afin d’avoir la force nécessaire pour sauver sa propre fille.
Il bascula rapidement les pages écornées et jaunies pour atteindre le chapitre qu’il désirait compulser.
Il suivit les écritures de son doigt, reportant sans cesse son regard mauve sur les schémas apposés par rapport au texte.

Il était un peu perdu, c’était la première fois qu’il était en face d’un tel cas de délabrement du corps. Celui de l’enfant avait été affamé, assoiffé sans cesse et en portait de lourdes séquelles. Ses organes ne devaient plus être que l’ombre d’eux-mêmes. Il savait ce qui lui restait à faire, cependant, avec un état aussi catastrophique, il n’avait pas le droit à l’erreur. Il sélectionna dans sa tête la manœuvre complexe à faire, délicate, sûrement douloureuse, créer de nouveaux liens entre les viscères afin de rétablir des connections dévorées par cette dénutrition sévère et prolongée.

Il referma l’ouvrage et se retourna vers son plan de travail. Il retira la bassine fumante et bouillante de l’évier. Il plaça en dessous un tissu épais afin de ne pas se brûler. Il quitta la petite pièce sombre et gagna lentement le couloir qui menait à sa chambre. Il passa devant celle de Alexia. La porte était entrouverte. Il la poussa doucement.

La petite fille s’était endormie près de la fenêtre ouverte, serrant dans ses bras la petite chienne qui leva son museau vers lui à son approche. Il posa son chargement sur la petite table disposée près du mur et sur lequel la fillette faisait ses devoirs. Il gagna la fenêtre qu’il ferma doucement puis il déposa une couverture sur les épaules de sa fille. Ses yeux portaient des cernes rougies par les larmes. Il passa une main dans ses cheveux et soupira.

« Il va aller mieux, fais-moi confiance Alexia. »

Puis il reprit sa route, il avait un travail à accomplir.

Il revint au chevet de son malade. Le descendant du clan Nara. Il s’agenouilla sur le sol et y déposa la bassine d’eau brûlante. Il vérifia rapidement les fonctions vitales de l’enfant. Son pouls était faible et irrégulier, son souffle maigre et saccadé. Il passa une main sur son front, éloignant les premiers signes de fatigue qui enraidissait sa nuque. Il reporta son regard sur le niveau de la poche de la perfusion qu’il avait apposée au bras du jeune garçon. Le liquide nourrissant coulait goutte à goutte dans ses veines, le remplissant progressivement mais trop lentement. Il ne devait pas compter là dessus pour voir son état s’améliorer.

Il passa son bras dans le dos de l’enfant et le souleva, le rabattant vers l’avant, le soutenant de son bras qu’il plaça devant ses épaules. Il souleva un peu la chemise trop grande pour lui qu’il lui avait passée lorsqu’il était arrivé, découvrant la peau claire, les segments rugueux de sa colonne vertébrale saillante. Il repéra avec soin les points cartographiques entre lesquels il devrait travailler. Il exécuta le premier signe incantatoire, libérant un justu de haut niveau, insérant alors ses doigts devenus instruments entre les plans tissulaires de son dos.

Il sentit l’enfant tressaillir contre lui. Sa main droite se tordit sous le coup de la douleur déclenchée alors que Tako redressait la sienne, rétablissant le premier contact entre l’un de ses reins et sa périphérie. Il retira rapidement ses doigts qui sortirent de la peau sans l’avoir entamée, ayant traversé les tissus sans les léser. Il souffla, la première jonction était réparée. Contre lui, l’enfant respirait rapidement et de manière désorganisée. Il lui laissa reprendre un peu son souffle avant de poursuivre la procédure visant à sauver un à un les organes qui s’étaient petit à petit laissés mourir, comme lui.

Il recommença la manœuvre huit fois encore, faisant le plus rapidement possible pour ne pas lui faire mal trop longtemps. L’enfant ne cria pas, serrant les dents à chaque fois, se raidissant à chaque lésion imposée par celui qui tentait de le soigner. Sentir son cœur battre plus fort, savoir que son état d’inconscience ne le privait pas de cette sensation de se faire dépecer vivant donna à son bourreau l’envie de vomir.
Quand enfin il reposa le petit corps tremblant et meurtri, il se retint de crier sa colère. Il passa une main sur le front brûlant de l’enfant.

« Tu as été très courageux, ça va aller maintenant, je te le promets. »


Un souvenir incomplet, inachevé, tenant du rêve ou du cauchemar, pour lui, les deux se mélangeaient invariablement en bribes où revenaient sans cesse les mêmes choses, les voix rauques de ceux qui lui apportaient quelques fois un peu de nourriture, ceux qui lui jetait à la figure des paroles blessantes et humiliantes, lui montrant avec force combien il ne serait jamais comme eux, humain et libre. Eux, ils étaient dehors, ils pouvaient fuir où ils le désiraient, aucun barreau glacé ni de porte close ne pouvait les entraver et les brimer. Eux, ils demeuraient dans la lumière qui les éclairait alors que la porte de sa prison s’ouvrait. Lui, il devait se terrer dans le noir.
Ils lui faisaient peur, il s’était avancé une fois un tout petit peu vers eux, pour être avec eux, un peu, pour ne plus être tout seul dans cet endroit sombre et froid.
Ils l’avaient repoussé avec violence dans sa prison, lui faisant mal, lui brisant quelques os pour lui faire passer l’envie de recommencer. Ils lui avaient craché à la figure. Ils avaient crié.
« Sale monstre !! Comment oses-tu espérer sortir d’ici ?!! Ta place est dans ce trou à rats, tu es pire qu’un rat !! Mais regarde-toi !! Comment pourrais-tu vivre autre part que là où tu es maintenant ? »

Ils s’étaient mis à rire alors qu’il s’était sauvé au fond du seul endroit où ils n’iraient pas lui faire de mal, dans un recoin de sa geôle. Ils s’étaient moqués de lui. De toutes façons, que pouvait bien comprendre un monstre pareil qui n’avait jamais dit un mot et à qui on n’avait rien appris mis à part les coups ?

Pourtant, lui, il comprenait, il savait, ça lui faisait mal.

Il y avait un temps où ils étaient en permanence devant la porte de sa prison, à l’extérieur, s’assurant que les sceaux ne se rompaient pas, que rien ne pourrait laisser sortir le monstre. Entendre de temps en temps ces personnes parler devant la cloison de sa geôle lui avait permis d’apprendre un peu, juste assez pour que ça lui fasse mal.

Etait-ce donc tellement grave de vouloir un peu de cette lumière qu’il ne pouvait voir que par accoups aveuglants et rares ? Il n’avait jamais voulu être comme ça, jamais, alors pourquoi ?

Et puis il y avait eu cette fillette toute menue, celle qui avait brisé l’espace d’un instant cette chose qu’il le faisait tellement souffrir et dont il ne connaissait que la morsure à défaut d’en connaître le nom : la solitude.
C’était la première fois qu’il voyait une chose aussi belle, aussi chétive. Elle lui avait pris l’une de ses mains sans avoir peur. Après, il avait eu mal, rien d’autre que ce qui avait marqué le prémice de sa mort souhaitée par tous les autres.

Il essaya de bouger un peu. Respirer lui était difficile, la douleur était partout, il se sentait comme un animal pris au piège. Il serra un peu les dents, reprenant son souffle lentement par petites amplitudes pour ne pas trop solliciter ses muscles rompus. Comme ça, c’était encore un peu supportable. Ses doigts limés effleurèrent quelque chose de tiède et à la consistance molle. Ce n’était pas le contact rugueux et froid des pierres qui muraient sa prison. Etait-il en train de rêver ou bien était-ce la réalité ? Depuis longtemps, les deux se mélangeaient dans sa tête parce que là-bas, il faisait toujours noir, il ne savait pas si le soleil était levé ou couché, il ne pouvait qu’imaginer ce qui arrivait parfois à filtrer au travers des murs épais de sa geôle pour former une réalité déformée.
Il ouvrit un peu les yeux, se demandant encore pourquoi il le faisait puisque de toutes façons il ne voyait jamais rien.

Il fut éblouit fortement, il ferma les yeux sous l’impact qu’il reçut de plein fouet. Tout était blanc autour de lui. Son cœur se mit à battre fortement. Qu’est-ce que c’était cette chose qui lui avait traversé les yeux aussi violement ?
Avec peine, il réitéra son geste, essayant cette fois de soutenir la luminosité irradiante qui l’obligeait sans cesse à se détourner d’elle.
Lentement, ses yeux privés depuis longtemps de la lumière se réhabituèrent à elle qui envahissait totalement l’endroit dans lequel il se tenait.
Son regard passa avec affolement sur les contours de ce qui l’entourait. C’était totalement différent de ce qu’il avait toujours connu. Où était-il ? Que lui était-il arrivé ? Il n’était pas mort ? Pas encore ? Alors c’était quoi cet endroit ?

Il se mordit la lèvre et lutta pour se redresser malgré son état d’extrême faiblesse. Quelque chose glissa sur lui. Il baissa les yeux. Un tissu épais qui le recouvrait venait de tomber, découvrant son bras droit. Quelque chose était enfoncé dedans, relié à du liquide qui s’égouttait lentement.
Ses yeux verts s’agrandirent. C’était quoi tout ça ?
Il prit appui sur l’une de ses mains pour se relever. La douleur lui déchira le bras, la chose qui était plantée dedans se cassa, le sang perla. Il s’affala sur le sol lourdement, paniqué.
Soudain, il distingua sur le sol quelque chose, clair, brillant, un rayon de soleil.

Il tendit les bras vers lui, juste pour toucher un peu cette chose qu’il avait tant désirée et qu’il n’avait pu qu’apercevoir de loin.

Quelque chose l’enserra soudainement, bloquant ses mouvements.
Déjà. Ils étaient revenus pour le remettre à sa place, au fond de cet endroit dans lequel ils l’avaient condamné à rester.
Il se débattit avec violence, faisant taire dans son esprit la douleur sourde qui formait son carcan. Pas déjà, pas si près, il ne lui manquait que quelques centimètres pour effleurer le petit rayon de lumière léchant le sol de cet endroit, juste quelques centimètres.
La chose qu’il avait dans le bras s’arracha tout à fait, enlevant au passage un petit morceau de peau, laissant l’un de ses fragments dans ses chairs.

« Mais reste un peu tranquille enfin ! Tu vas te faire mal !! »